Invité Jeu 28 Jan 2010 - 2:27Temps très frais (à ne pas mettre un nanard dehors)
Terrain : vert au Tremblay
Heure locale : 19h30
Arbitre : inexistant (enfin, il est venu quand même !)
Face à une équipe de spoutnik audacieuse, Laurent Roger avait décidé d'aligner tout son arsenal offensif disponible : un pari récompensé. Mené au score, Kellermann a en effet su renverser la tendance et reste en course pour le titre. Voici le film du match :
Dans les coulisses du Stade Municipal du Tremblay :
- Les acteurs : le coach, wilbure, tomtom, ludo, legros moche, éric, fabien, benji, hugo dit le beau-fils et votre serviteur. Jimmy neutron s'est excusé : une vieille gastro de derrière les fagots l'empêchât de sortir de son lit ; celle-là alors...
- Darchevesque d'abord sur les tablettes du coach, n'a finalement pas été retenu : un aller/retour à rungis au dernier moment pour acheter du merlu blanc d'atlantique au colonel aura eu raisin de lui
- Tout se joua lorsque le coach sortit son magnifique tableau véléda dans les vestiaires. Et même si les joueurs n'ont pas forcément tout compris au charabia baragouiné à ce moment-là, les consignes ont été respecté et l'essentiel du message est passé : GAGNER !
Le jeu :
Aprés un speech de l'arbitre croyant s'adresser à des poussins et un "hip hip hip hourra pour les blancs", le jeu commence avec beaucoup d'envie. Les consignes de l'arbitre sont respectées, les joueurs tiennent leur place et le système mis en place par le coach commence à payer. Malheureusement, le principal n'est pas fait à savoir mettre le ballon au fond des filets adverses. L'avantage de cette mi-temps est que Fabien aura enfin réalisé à ce moment-là qu'il ne marquera jamais. A la question "suis-je trop vieux pour jouer au foot ?", il répondit oui sans hésiter. C'est sûr qu'en se posant des questions comme ça au milieu du match, il ne risquera pas d'y arriver ! Courage fabien, on est tous avec toi, ne baisse pas les bras.
Quelques frappes et poteaux plus tard, le score est toujours de 0-0. Les Spoutnicks manquent cruellement de technique, mais la combattivité est là, ce qui fait peut être défaut à kellermann.
Comme disait Napoléon, c'est en deuxième mi-temps que ça se corse. A la première action du match, un joueur laissé seul au 2° poteau reprend de la tête un corner justement tiré. 1-0, le CSLG est cueilli à froid contre le court du jeu.
Mais c'est peut-être là que s'est mis en branle l'effet suppositoire. Aprés un coaching gagnant, hugo, replacé au milieu dans l'axe, efface 2 adversaires et vient planter un gardien adverse jusque là irréprochable, d'une frappe puissante à ras de terre dont il ne peut se saisir. 1-1, balle au centre.
Mais revenons sur le coaching. L'histoire ne précise pas que la réorganisation de l'attaque ne s'est pas fait toute seule. En effet, alors que le coach, tel un gilbert montagné devant sa télé, continuait à se demander pourquoi on ne marquait pas, les remplaçants suggérèrent une réorganisation tactique qu'il s'empressât d'effectuer. Le but survint 5 minutes plus tard. Sans commentaires.
Dés lors, le CSLG savait que ce match était pour eux. Et ce n'est pas les 142 changements de spoutnick durant le match, ni l'arbitre en carton qui les aurait fais douter. Néanmoins, l'équipe pousse mais ne marque pas à l'image d'un nanard des grands soirs, chaud comme la braise, qui manqua de peu une occasion qu'il avait réussi à se créer, en tirant à côté des cages CAR LE GARDIEN A EFFECTUÉ UNE TRÈS BONNE SORTIE. Il n'est pas rester en sifflotant comme le croit le reste de l'équipe. D'ailleurs le coach compris son erreur quand il le sortit du match, s'empressant de le réintégrer, tant la faim de ballons se faisait sentir chez ce joueur.
La pression était telle que même grosclaude en aurait demandé. Et c'est à force d'envie et doté d'un mental en acier trempé que survint la délivrance tant attendue.C'est à 5 minutes de la fin que l'arbitre siffla un pénalty largement justifié sur une faute, un attentat, commis sur hugo le feu follet de la soirée. Il se fit justice lui même et aggrava le score. 1-2 le score ne bougera pas.
Une dernière attaque, la deuxième, a mettre au profit de spoutnick aurait pu éventuellement être conclue par un pénalty pour un léger accrochage de will sur l'attaquant qui se laissa tomber plus qu'autre chose telle la bouse sur le trottoir, à faire pâlir d'envie un Bouyer. Mais comme l'arbitre arrêta le jeu pour demander l'avis à will, ce dernier jura ses grands Dieux qu'il ne l'avait pas touché (nardine ralla). Nous voilà rassuré. Merci à l'arbitre de sa sollicitude et de sa bienveillance.
C'est donc dans la douleur, mais avec une abnégation et un courage à toute épreuve que le CSLG kellermann a su se défaire d'un traquenard qui lui pendait au nez comme un alpiniste sur la face nord du K2. Mené au score, Kellermann a en effet su renverser la tendance et continue sa route en avant vers le titre de champion.
Pour le coach :
Briefing de début de match : 7
Encouragement des joueurs : 6
Coaching pendant le match : 3
Débriefing d'aprés le match (pas celui au Mcdo ni dans la voiture) : Néant
Moyenne : 5.3. C'est cher payé mais c'est le jeu ma pauvre lucette.
Fabien, si tu m'entends, reviens, ça va passer. ON T'AIME !!!
Nanard, envoyé très spécial
Terrain : vert au Tremblay
Heure locale : 19h30
Arbitre : inexistant (enfin, il est venu quand même !)
POUR RESTER DANS LA COURSE, KELLERMANN SE DEVAIT D'OBTENIR UNE VICTOIRE!!!
Face à une équipe de spoutnik audacieuse, Laurent Roger avait décidé d'aligner tout son arsenal offensif disponible : un pari récompensé. Mené au score, Kellermann a en effet su renverser la tendance et reste en course pour le titre. Voici le film du match :
Dans les coulisses du Stade Municipal du Tremblay :
- Les acteurs : le coach, wilbure, tomtom, ludo, le
- Darchevesque d'abord sur les tablettes du coach, n'a finalement pas été retenu : un aller/retour à rungis au dernier moment pour acheter du merlu blanc d'atlantique au colonel aura eu raisin de lui
- Tout se joua lorsque le coach sortit son magnifique tableau véléda dans les vestiaires. Et même si les joueurs n'ont pas forcément tout compris au charabia baragouiné à ce moment-là, les consignes ont été respecté et l'essentiel du message est passé : GAGNER !
Le jeu :
Aprés un speech de l'arbitre croyant s'adresser à des poussins et un "hip hip hip hourra pour les blancs", le jeu commence avec beaucoup d'envie. Les consignes de l'arbitre sont respectées, les joueurs tiennent leur place et le système mis en place par le coach commence à payer. Malheureusement, le principal n'est pas fait à savoir mettre le ballon au fond des filets adverses. L'avantage de cette mi-temps est que Fabien aura enfin réalisé à ce moment-là qu'il ne marquera jamais. A la question "suis-je trop vieux pour jouer au foot ?", il répondit oui sans hésiter. C'est sûr qu'en se posant des questions comme ça au milieu du match, il ne risquera pas d'y arriver ! Courage fabien, on est tous avec toi, ne baisse pas les bras.
Quelques frappes et poteaux plus tard, le score est toujours de 0-0. Les Spoutnicks manquent cruellement de technique, mais la combattivité est là, ce qui fait peut être défaut à kellermann.
Comme disait Napoléon, c'est en deuxième mi-temps que ça se corse. A la première action du match, un joueur laissé seul au 2° poteau reprend de la tête un corner justement tiré. 1-0, le CSLG est cueilli à froid contre le court du jeu.
Mais c'est peut-être là que s'est mis en branle l'effet suppositoire. Aprés un coaching gagnant, hugo, replacé au milieu dans l'axe, efface 2 adversaires et vient planter un gardien adverse jusque là irréprochable, d'une frappe puissante à ras de terre dont il ne peut se saisir. 1-1, balle au centre.
Mais revenons sur le coaching. L'histoire ne précise pas que la réorganisation de l'attaque ne s'est pas fait toute seule. En effet, alors que le coach, tel un gilbert montagné devant sa télé, continuait à se demander pourquoi on ne marquait pas, les remplaçants suggérèrent une réorganisation tactique qu'il s'empressât d'effectuer. Le but survint 5 minutes plus tard. Sans commentaires.
Dés lors, le CSLG savait que ce match était pour eux. Et ce n'est pas les 142 changements de spoutnick durant le match, ni l'arbitre en carton qui les aurait fais douter. Néanmoins, l'équipe pousse mais ne marque pas à l'image d'un nanard des grands soirs, chaud comme la braise, qui manqua de peu une occasion qu'il avait réussi à se créer, en tirant à côté des cages CAR LE GARDIEN A EFFECTUÉ UNE TRÈS BONNE SORTIE. Il n'est pas rester en sifflotant comme le croit le reste de l'équipe. D'ailleurs le coach compris son erreur quand il le sortit du match, s'empressant de le réintégrer, tant la faim de ballons se faisait sentir chez ce joueur.
La pression était telle que même grosclaude en aurait demandé. Et c'est à force d'envie et doté d'un mental en acier trempé que survint la délivrance tant attendue.C'est à 5 minutes de la fin que l'arbitre siffla un pénalty largement justifié sur une faute, un attentat, commis sur hugo le feu follet de la soirée. Il se fit justice lui même et aggrava le score. 1-2 le score ne bougera pas.
Une dernière attaque, la deuxième, a mettre au profit de spoutnick aurait pu éventuellement être conclue par un pénalty pour un léger accrochage de will sur l'attaquant qui se laissa tomber plus qu'autre chose telle la bouse sur le trottoir, à faire pâlir d'envie un Bouyer. Mais comme l'arbitre arrêta le jeu pour demander l'avis à will, ce dernier jura ses grands Dieux qu'il ne l'avait pas touché (nardine ralla). Nous voilà rassuré. Merci à l'arbitre de sa sollicitude et de sa bienveillance.
C'est donc dans la douleur, mais avec une abnégation et un courage à toute épreuve que le CSLG kellermann a su se défaire d'un traquenard qui lui pendait au nez comme un alpiniste sur la face nord du K2. Mené au score, Kellermann a en effet su renverser la tendance et continue sa route en avant vers le titre de champion.
Pour le coach :
Briefing de début de match : 7
Encouragement des joueurs : 6
Coaching pendant le match : 3
Débriefing d'aprés le match (pas celui au Mcdo ni dans la voiture) : Néant
Moyenne : 5.3. C'est cher payé mais c'est le jeu ma pauvre lucette.
Fabien, si tu m'entends, reviens, ça va passer. ON T'AIME !!!
Nanard, envoyé très spécial 
